Sur la toile, la couleur est lumière et la matière, mouvement.
La ligne suggère un corps ou une berge, spontanément, sans s’encombrer de références, avec la liberté pour seule profession de foi, une liberté intellectuelle, sensuelle, conceptuelle, une liberté virale qui s’étend jusqu’à l’œil de celui qui regarde et s’attache à dépeindre la dualité du monde, à capturer la vie.
L’art n’est que le produit d’une mémoire collective, qu’il incombe à chacun de réinventer.
Dès lors, je plaide coupable : ces images contiennent du désir.
Valentina Chambrin